Une mére et ses enfants 4
avec mon fils, un peu nigaux
a fin de l" année scolaire arrivée, Vanessa, ma fille allait rentrer a la maison pour les vacances, mon fils était tout heureux.
- Cela te plait tant que cela de revoir ta sœur mon chéri ?
- Oui maman, elle me manque, surtout quand elle venait dans la salle de bain quand j'y étais.
- Ça suffit, vous êtes frère et soeur, cela ne se fait pas.
je vis mon garçon attristé par cette derniere parole, je ne sais pas ce qui m'est passé par la tête a ce moment là, mais je voulais en savoir plus.
- Dis moi, quand Vanessa va à la salle de bain quand tu y es, tu es nu, n'est-ce pas ?
- Oui, maman.
- Et que fait-elle ?
- Elle me fait mettre face au mur dans la baignoire, elle me frotte le dos et les fesses.
- C'est vraiment tout, mon chéri ?
- Elle lave aussi mon zizi, maman.
- Et que ressens-tu ?
- Des choses bizarre dans mon ventre, maman, mais pas autant que quand elle veut vérifier que mon zizi est bien propre.
- Vérifier ? explique-moi.
- Là je peux me retouner face à elle, elle est complètement nue, elle continue de toucher mon zizi, puis, elle le met en bouche.
- Oh mon chéri, tu n'aimes pas cela, j'en suis sûre, c'est contre nature, un frère et une sœur.
- Je ne sais pas ce qui se passe, maman, je ferme les yeux, mais mon zizi s'allonge et devient tout dur, puis elle fait des allers-retours avec sa bouche, jusqu'à ce que je tremble, et que j'ai envie de faire pipi, rien ne sort, mais elle s'arrête à ce moment-là.
Je n'en revenais pas, ma fille faisait des fellations a mon fils...
- Dis-moi, mon chéri, te fait-elle la toucher ?
- Parfois je mets ma main à sa zézette, et c'est bizarre.
- Bizarre, comment ça ?
- Bien qu'elle ne vienne pas dans l'eau, mes doigts sont trempés.
- OK, va un peu dans le salon, je dois réfléchir avant le retour de ta sœur cette après-midi.
Encore toute chamboulée, je voyais la scène dans ma tête, mon fils jouissant sous les coups de langue de sa soeur, et elle qui mouillait, mais quelle enfant j'avais, pourtant, je me sentie excitée et rappelle mon fils.
- Depuis que ta sœur est partie, tu as encore le zizi qui devient tout dur ?
- Parfois quand j'y repense maman, ou quand...
- Quand quoi ?
- Je te regarde en sous-vêtements à la salle de bain quand tu penses que je dors.
Je n'en revenais pas, mon fils me mate, et en plus, je le fais bander, le plus grâve, et que cela m'excitait, et je voulus vérifier.
- Baisse ton pantalon, et montre-moi ton zizi.
Il le fit très vite, vu qu il ne portait qu'un jogging, je me mis droite devant lui et sa queue avait l'air toute molle, mais déjà importante pour son jeune âge.
Il était encore tôt ce matin, et j'étais encore vêtue de mon peignoir, avec juste une culotte en dessous, j'ouvris mon peignoir, et ses yeux tombèrent directement sur mes deux gros seins, la réaction ne se fit pas attendre, son gland releva la tête, et je commencais à mouiller, je me suis approchée de lui, et lui ai dit :
- Descends la culotte de ta maman.
Il attrapa les côtés de ma culotte, et la fit glisser jusqu'à mes pieds, je devenais folle, moi une femme sérieuse, qui se montre à poil devant son fils, et en plus je mouillais.
- Wahou maman, ta zézette est bien différente de Vanessa, on dirait qu'elle a une barbe.
- Vanessa est encore jeune, moi, je suis une femme, je n'ai plus une zézette, mais une chatte poilue, et tu sais, Vanessa ne vérifie pas si ton zizi est propre, elle te taille une pipe.
Comme maintenant ton zizi est bien dur, (je n'aimais pas avaler la semence, information à retenir pour la suite de l'histoire) je vais moi aussi te tailler une pipe.
Je me disais que j'étais folle, j'allais tailler une pipe à mon fils, cela venait surement du fait des rares rapports sexuels, ou la chaleur qui avoisinait les 30 degrés en cette période estivale.
Mon fils a joui trés rapidement, mais toujours pas de sperme, ouf, moi, j'avais joui sans toucher à mon clito, juste en lui suçant la queue, le reste de la journée se passa sans qu'on en reparle.
a fin de l" année scolaire arrivée, Vanessa, ma fille allait rentrer a la maison pour les vacances, mon fils était tout heureux.
- Cela te plait tant que cela de revoir ta sœur mon chéri ?
- Oui maman, elle me manque, surtout quand elle venait dans la salle de bain quand j'y étais.
- Ça suffit, vous êtes frère et soeur, cela ne se fait pas.
je vis mon garçon attristé par cette derniere parole, je ne sais pas ce qui m'est passé par la tête a ce moment là, mais je voulais en savoir plus.
- Dis moi, quand Vanessa va à la salle de bain quand tu y es, tu es nu, n'est-ce pas ?
- Oui, maman.
- Et que fait-elle ?
- Elle me fait mettre face au mur dans la baignoire, elle me frotte le dos et les fesses.
- C'est vraiment tout, mon chéri ?
- Elle lave aussi mon zizi, maman.
- Et que ressens-tu ?
- Des choses bizarre dans mon ventre, maman, mais pas autant que quand elle veut vérifier que mon zizi est bien propre.
- Vérifier ? explique-moi.
- Là je peux me retouner face à elle, elle est complètement nue, elle continue de toucher mon zizi, puis, elle le met en bouche.
- Oh mon chéri, tu n'aimes pas cela, j'en suis sûre, c'est contre nature, un frère et une sœur.
- Je ne sais pas ce qui se passe, maman, je ferme les yeux, mais mon zizi s'allonge et devient tout dur, puis elle fait des allers-retours avec sa bouche, jusqu'à ce que je tremble, et que j'ai envie de faire pipi, rien ne sort, mais elle s'arrête à ce moment-là.
Je n'en revenais pas, ma fille faisait des fellations a mon fils...
- Dis-moi, mon chéri, te fait-elle la toucher ?
- Parfois je mets ma main à sa zézette, et c'est bizarre.
- Bizarre, comment ça ?
- Bien qu'elle ne vienne pas dans l'eau, mes doigts sont trempés.
- OK, va un peu dans le salon, je dois réfléchir avant le retour de ta sœur cette après-midi.
Encore toute chamboulée, je voyais la scène dans ma tête, mon fils jouissant sous les coups de langue de sa soeur, et elle qui mouillait, mais quelle enfant j'avais, pourtant, je me sentie excitée et rappelle mon fils.
- Depuis que ta sœur est partie, tu as encore le zizi qui devient tout dur ?
- Parfois quand j'y repense maman, ou quand...
- Quand quoi ?
- Je te regarde en sous-vêtements à la salle de bain quand tu penses que je dors.
Je n'en revenais pas, mon fils me mate, et en plus, je le fais bander, le plus grâve, et que cela m'excitait, et je voulus vérifier.
- Baisse ton pantalon, et montre-moi ton zizi.
Il le fit très vite, vu qu il ne portait qu'un jogging, je me mis droite devant lui et sa queue avait l'air toute molle, mais déjà importante pour son jeune âge.
Il était encore tôt ce matin, et j'étais encore vêtue de mon peignoir, avec juste une culotte en dessous, j'ouvris mon peignoir, et ses yeux tombèrent directement sur mes deux gros seins, la réaction ne se fit pas attendre, son gland releva la tête, et je commencais à mouiller, je me suis approchée de lui, et lui ai dit :
- Descends la culotte de ta maman.
Il attrapa les côtés de ma culotte, et la fit glisser jusqu'à mes pieds, je devenais folle, moi une femme sérieuse, qui se montre à poil devant son fils, et en plus je mouillais.
- Wahou maman, ta zézette est bien différente de Vanessa, on dirait qu'elle a une barbe.
- Vanessa est encore jeune, moi, je suis une femme, je n'ai plus une zézette, mais une chatte poilue, et tu sais, Vanessa ne vérifie pas si ton zizi est propre, elle te taille une pipe.
Comme maintenant ton zizi est bien dur, (je n'aimais pas avaler la semence, information à retenir pour la suite de l'histoire) je vais moi aussi te tailler une pipe.
Je me disais que j'étais folle, j'allais tailler une pipe à mon fils, cela venait surement du fait des rares rapports sexuels, ou la chaleur qui avoisinait les 30 degrés en cette période estivale.
Mon fils a joui trés rapidement, mais toujours pas de sperme, ouf, moi, j'avais joui sans toucher à mon clito, juste en lui suçant la queue, le reste de la journée se passa sans qu'on en reparle.
4 years ago
