Une mére et ses enfants 7
Madame X (je garde l'anonymat du nom) vous êtes accusés vous et votre mari de prostitution infantile, vous allez nous suivre au poste pour une garde à vue de 24h minimum
- Mais ce n'est pas possible, vous n'avez pas le droit, que vont devenir mes enfants ?
- Pour le moment, ils seront conduits en Belgique chez leur oncle.
Le frère de mon mari aurait la garde de nos enfants pendant qui nous serions privés de liberté.
AU POSTE DE POLICE
Arrivés au poste, nous avons été conduits, mon mari et moi dans une immense salle aux lumières aveuglantes, mais ce qui me surprit le plus, c’est que nous n'étions pas les seuls, d autres prisonniers attendaient déjà
Bien sûr, j’étais la seule femme.
- Bien ! Des travaux dans notre commissariat nous obligent à vous interroger tous ici.
- Vous n'avez pas le droit, c'est une atteinte aux droits de l'homme.
Je reçus une gigantesque claque qui me fît tomber au sol.
- Ferme là salope, ici, les droits de l’homme on s'en fout, notre mission dans cette pièce est de vérifier si vous ne portez rien de dangereux, autrement dit, la fouille !
- J’exige d'être fouillée par une femme !
Je reçus une deuxième gifle.
- Mettez-vous tous en sous-vêtements !
Les hommes obéirent assez vite, mais moi je ne voulais pas me déshabiller, le chef s'approcha alors de moi, et écarta un peu les pans de mon chemisier.
- J'ai compris pourquoi elle ne veut pas se mettre en sous-vêtements les gars, c’est parce qu'elle en a pas, du moins pas de soutien-gorge, mais ici la règle est la même pour tout le monde me dit-il en m'entrainant vers le centre de la pièce, j'étais maintenant à la vue de tous, il fit le tour et se plaça dans mon dos, et mit ses mains sur mes seins en les remontant vers l'échancrure du chemisier...
D'un coup sec, il déchira mon chemisier libérant mes seins aux yeux de tous, j'étais rouge de honte.
Il se plaça de nouveau face à moi
- Tu as des grosses mamelles toi, c'est du combien ?
- 100D monsieur.
- Je suis le gardien en chef ici ! Hurle-le !
- 100 D hurlai-je.
- Tu ne nous caches rien là-dedans ? Me dit-il en me malaxant violement les nichons.
- Non gardien chef.
- Dans ta chatte peut être ? Et il arracha ma jupe
- La salope ! Elle n’a pas de culotte non plus !
Et il planta les doigts dans ma chatte.
- Je n'y crois pas, elle mouille de se montrer à poil devant vous les gars !
Il fouilla ma chatte dans le moindre recoin, et me fît mettre dos à plat sur son bureau, jambes pendantes dans le vide.
- Ton mari et toi, êtes ici pour 24h minimum, ce n'est pas le cas des autres détenus.
Il m'obligea à écarter les cuisses bien en grand, offrant la vue de mon sexe à tous les autres prisonniers.
Il s'adressa alors aux autres détenus :
- Je suis de bonne humeur aujourd'hui, vous allez rester parmi nous pendant quelques années, alors, je vous offre la possibilité de vous vider les couilles une dernière fois avant longtemps dans la chatte de cette pute, vous avez 2 heures.
Pendant 2 heures, je fus violée par les 9 autres détenus, avec parfois un sexe en bouche et la chatte en même temps, puis je fus conduite nue en cellule, car mes vêtement était en lambeaux.
Ma cellule était occupée par 3 autres détenues femmes qui, en me voyant arriver nue, avaient déjà un large sourire... .
- Hum on nous amène de la chatte fraiche, et déjà à poil en plus !
Cela ne présageait rien de bon pour moi.
En m’enferma dans la cellule, le gardien chef me dit :
- Je t'ai mise dans la cellule des plus anciennes détenues, des lesbiennes qui ne font plus que se bouffer la moule jour et nuit, ta chatte va te servir pour rester en vie.
A peine arrivée en cellule, mes codétenues vinrent se présenter à moi.
- Moi, c’est Virginie, je suis la chef de cette cellule, elle, c'est Anne, elle est devenue ma femme depuis toutes c'est longues année que nous partageons cette cellule.
C'était une femme d'une quarantaine d'années, à la peau noire, venant sûrement des bas quartiers, où toutes les personnes d'origine Africaine étaient rassemblées.
Essayant de ne pas m'attirer leur colère, je me présentai à mon tour.
- je m'appelle Marie...
Je reçu un gifle magistrale.
- Ferme là ! Ici, tu n'es plus personne ! Je suis une lesbo dominatrice, tu n'es plus rien ! Tes gros nichons et ta chatte m'appartiennent ! D'ailleurs présente la moi !
Comme je ne bougeais pas, elle me fit tomber sur le lit. Immédiatement, Anne me saisit par les bras pour me maintenir couchée. Virginie m'écarta les cuisses en grand, et commença l'inspection de mon sexe.
- T'as vraiment une chatte de salope, elle est toute rouge. Tu t'es fait limer avant d’arriver ici ! Elle est encore toute gluante, et elle recrache encore le jus des hommes. Pouah ! Anne nettoie lui la fente.
Échangeant leur place, je peux me libérer un instant, et envoyer un coup de pied dans la pauvre Anne. Mal m'en prit, je reçus directement un coup de poing dans le nez qui se brisa aussitôt
- Tu n’as pas compris salope, tu m’appartiens !
Elle m'attrapa les tétons, tirant violement dessus.
- T’as des beaux nichons, mais tes tétons ne servent plus à rien.
Virginie posa sa bouche sur mon mamelon gauche, et cherchait à faire darder mon téton, ce qui ne fut pas long.
J’ai alors reçu une douleur fulgurante dans mon sein, et Virginie cracha quelque chose sur le sol, et là, horreur, en regardant ce qu'elle venait de cracher, c'était mon téton qui était là sur le sol, Virginie me l'avait cissaillé avec les dents.
J'ai hurlais de douleur, ce qui alerta les gardiens qui, après avoir ramassé mon téton, me conduisirent a l'infirmerie, pourraient-ils faire quelque chose, où resterai-je mutilée à jamais ?
On m'a soigné le nez puis on me donna un tranquillisant puissant pour s'occuper de mon sein, je perdis connaissance.
Au réveil, ma poitrine était comprimée dans un bandage, mais une douleur continuait de traverser mon sein. L'infirmier m’expliqua, qu’il avait tout son possible, mais il n'était pas sûr que j'aurais encore des sensations dans mon téton, que seul le temps pourrait le dire.
- Mais ce n'est pas possible, vous n'avez pas le droit, que vont devenir mes enfants ?
- Pour le moment, ils seront conduits en Belgique chez leur oncle.
Le frère de mon mari aurait la garde de nos enfants pendant qui nous serions privés de liberté.
AU POSTE DE POLICE
Arrivés au poste, nous avons été conduits, mon mari et moi dans une immense salle aux lumières aveuglantes, mais ce qui me surprit le plus, c’est que nous n'étions pas les seuls, d autres prisonniers attendaient déjà
Bien sûr, j’étais la seule femme.
- Bien ! Des travaux dans notre commissariat nous obligent à vous interroger tous ici.
- Vous n'avez pas le droit, c'est une atteinte aux droits de l'homme.
Je reçus une gigantesque claque qui me fît tomber au sol.
- Ferme là salope, ici, les droits de l’homme on s'en fout, notre mission dans cette pièce est de vérifier si vous ne portez rien de dangereux, autrement dit, la fouille !
- J’exige d'être fouillée par une femme !
Je reçus une deuxième gifle.
- Mettez-vous tous en sous-vêtements !
Les hommes obéirent assez vite, mais moi je ne voulais pas me déshabiller, le chef s'approcha alors de moi, et écarta un peu les pans de mon chemisier.
- J'ai compris pourquoi elle ne veut pas se mettre en sous-vêtements les gars, c’est parce qu'elle en a pas, du moins pas de soutien-gorge, mais ici la règle est la même pour tout le monde me dit-il en m'entrainant vers le centre de la pièce, j'étais maintenant à la vue de tous, il fit le tour et se plaça dans mon dos, et mit ses mains sur mes seins en les remontant vers l'échancrure du chemisier...
D'un coup sec, il déchira mon chemisier libérant mes seins aux yeux de tous, j'étais rouge de honte.
Il se plaça de nouveau face à moi
- Tu as des grosses mamelles toi, c'est du combien ?
- 100D monsieur.
- Je suis le gardien en chef ici ! Hurle-le !
- 100 D hurlai-je.
- Tu ne nous caches rien là-dedans ? Me dit-il en me malaxant violement les nichons.
- Non gardien chef.
- Dans ta chatte peut être ? Et il arracha ma jupe
- La salope ! Elle n’a pas de culotte non plus !
Et il planta les doigts dans ma chatte.
- Je n'y crois pas, elle mouille de se montrer à poil devant vous les gars !
Il fouilla ma chatte dans le moindre recoin, et me fît mettre dos à plat sur son bureau, jambes pendantes dans le vide.
- Ton mari et toi, êtes ici pour 24h minimum, ce n'est pas le cas des autres détenus.
Il m'obligea à écarter les cuisses bien en grand, offrant la vue de mon sexe à tous les autres prisonniers.
Il s'adressa alors aux autres détenus :
- Je suis de bonne humeur aujourd'hui, vous allez rester parmi nous pendant quelques années, alors, je vous offre la possibilité de vous vider les couilles une dernière fois avant longtemps dans la chatte de cette pute, vous avez 2 heures.
Pendant 2 heures, je fus violée par les 9 autres détenus, avec parfois un sexe en bouche et la chatte en même temps, puis je fus conduite nue en cellule, car mes vêtement était en lambeaux.
Ma cellule était occupée par 3 autres détenues femmes qui, en me voyant arriver nue, avaient déjà un large sourire... .
- Hum on nous amène de la chatte fraiche, et déjà à poil en plus !
Cela ne présageait rien de bon pour moi.
En m’enferma dans la cellule, le gardien chef me dit :
- Je t'ai mise dans la cellule des plus anciennes détenues, des lesbiennes qui ne font plus que se bouffer la moule jour et nuit, ta chatte va te servir pour rester en vie.
A peine arrivée en cellule, mes codétenues vinrent se présenter à moi.
- Moi, c’est Virginie, je suis la chef de cette cellule, elle, c'est Anne, elle est devenue ma femme depuis toutes c'est longues année que nous partageons cette cellule.
C'était une femme d'une quarantaine d'années, à la peau noire, venant sûrement des bas quartiers, où toutes les personnes d'origine Africaine étaient rassemblées.
Essayant de ne pas m'attirer leur colère, je me présentai à mon tour.
- je m'appelle Marie...
Je reçu un gifle magistrale.
- Ferme là ! Ici, tu n'es plus personne ! Je suis une lesbo dominatrice, tu n'es plus rien ! Tes gros nichons et ta chatte m'appartiennent ! D'ailleurs présente la moi !
Comme je ne bougeais pas, elle me fit tomber sur le lit. Immédiatement, Anne me saisit par les bras pour me maintenir couchée. Virginie m'écarta les cuisses en grand, et commença l'inspection de mon sexe.
- T'as vraiment une chatte de salope, elle est toute rouge. Tu t'es fait limer avant d’arriver ici ! Elle est encore toute gluante, et elle recrache encore le jus des hommes. Pouah ! Anne nettoie lui la fente.
Échangeant leur place, je peux me libérer un instant, et envoyer un coup de pied dans la pauvre Anne. Mal m'en prit, je reçus directement un coup de poing dans le nez qui se brisa aussitôt
- Tu n’as pas compris salope, tu m’appartiens !
Elle m'attrapa les tétons, tirant violement dessus.
- T’as des beaux nichons, mais tes tétons ne servent plus à rien.
Virginie posa sa bouche sur mon mamelon gauche, et cherchait à faire darder mon téton, ce qui ne fut pas long.
J’ai alors reçu une douleur fulgurante dans mon sein, et Virginie cracha quelque chose sur le sol, et là, horreur, en regardant ce qu'elle venait de cracher, c'était mon téton qui était là sur le sol, Virginie me l'avait cissaillé avec les dents.
J'ai hurlais de douleur, ce qui alerta les gardiens qui, après avoir ramassé mon téton, me conduisirent a l'infirmerie, pourraient-ils faire quelque chose, où resterai-je mutilée à jamais ?
On m'a soigné le nez puis on me donna un tranquillisant puissant pour s'occuper de mon sein, je perdis connaissance.
Au réveil, ma poitrine était comprimée dans un bandage, mais une douleur continuait de traverser mon sein. L'infirmier m’expliqua, qu’il avait tout son possible, mais il n'était pas sûr que j'aurais encore des sensations dans mon téton, que seul le temps pourrait le dire.
4 years ago